Une fille magique prend sa retraite de Park Seolyeon, traduit par Anton Hur
Nous aimons un genre subverti ici, et Une fille magique prend sa retraite regarde le genre des filles magiques à travers une lentille millénaire résolument déprimée. C'est-à-dire que la fille magique du conte de Seolyeon commence à s'endetter jusqu'aux yeux après avoir perdu son emploi pendant la pandémie. Lorsqu'elle tente de se suicider, elle est interrompue par Ah Roa, une fille vêtue de blanc qui recherche la plus grande fille magique de tous les temps, et le protagoniste de Seolyeon pourrait bien être elle. Maintenant qu'elle a un certain espoir pour l'avenir en tant que fille magique, la jeune femme fonce mais rencontre les mauvaises surprises qui accompagnent l'enfance magique. Il s'avère que c'est beaucoup de travail. Les filles magiques vont aux salons de l'emploi, ont besoin des syndicats et doivent apprendre des choses en classe. En plus de tout cela, votre fille a toujours une faible estime d’elle-même. Et, à la manière des millennials, sa baguette magique est une carte de crédit, et son grand méchant ennemi monstre est le changement climatique.
Je vais vous laisser avec une ligne directe du texte de présentation de celui-ci car cela a chatouillé ma nostalgie : «Une fille magique prend sa retraite nous rappelle que nous sommes toutes des filles magiques – que combattre le mal au clair de lune et gagner l'amour à la lumière du jour peut être le jeu de n'importe qui.
Très Marin Lune-codé.
