Actualités littéraires Région de Murcie


1 juin 2020

Victor M. Mirete Ramallo

Deux bonnes nouvelles sur la culture du livre de la Région de Murcie

La culture inépuisable du livre continue d’être un pilier indestructible

Nous ne pourrions pas être plus heureux le cinquième livre. Malgré le fait que cette année soit difficile pour tout et pour tous, la culture est ce pilier indestructible qui se dresse au milieu de la tempête pour soutenir l’espoir et l’unité des peuples.

Parmi tant de mauvaises nouvelles que nous avons subies ces derniers mois, il y a soudain des fleurs qui poussent pour exciter et égayer la semaine.

C’est pourquoi nous voulons nous associer à la joie que nous procurent deux journées littéraires que nous suivons et suivrons toujours de très près telles qu’elles sont Salon du livre de Murcievers et Carthagène noire.

Deux bannières fondamentales pour la santé littéraire de notre région et qui se lèvent cette semaine avec des nouvelles vibrantes et passionnantes :

  • D’un côté nous avons l’heureuse et attendue annonce du retour du festival de Carthagène noire, pour laquelle ses organisateurs (avec notre éditeur Antoine Parra et le grand Francisco Marín à la barre) ont déjà révélé la date à laquelle il aura lieu. Les 10, 11 et 12 septembre, ce référent de la littérature noire prendra place dans la cité portuaire. L’organisation travaille sans relâche et contre la montre pour que nous connaissions bientôt les détails du programme.

  • L’autre nouvelle non moins importante est l’annonce du tout nouveau gagnant de l’affiche officielle de Salon du livre de Murcie et, en plus d’être une joie pour l’auteur, c’est une source de fierté pour le reste des habitants de Murcie, car il sert de fer de lance pour que le compte à rebours de la foire 2020 commence à soustraire des jours. Ainsi, le merveilleux et beau travail de Rubén Lucas Garcia (natif de Torreagüera) a été choisi par le jury pour représenter le festival du livre de Murcie organisé par pâlequi lance également un nouveau site web conçu par notre collègue Christophe Terrer).

Ni les pandémies ni les apocalypses zombies ne feront perdre la culture du livre, car comme le dit notre éditeur Paco Rabadan Aroca:

« si vous pouvez le voir, c’est parce que quelqu’un l’a écrit ».