Revue par Einar Leifson, Viking Blood

Critique de Einar Leifson, Viking Blood, de Salvador Conte

une histoire viking

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Synopsis par Einar Leifson, Viking Blood

Einar Leifson vient d’avoir 15 hivers lorsqu’il doit obéir aux ordres de son père, Jarl Leif Thorvaldson et quitter la sécurité de l’île de Jegind, sa maison au Danemark, et doit participer à un raid inhabituel sur l’Angleterre.

Après la dernière bataille, il fait l’objet d’une tentative d’assassinat par son propre frère. Donné pour mort, il est abandonné et seul sur l’île. Là, il rencontrera un moine anglais particulier, appelé Osric, qui propose son aide pour retourner au Danemark. Avec lui, il sera obligé de parcourir toute l’Angleterre et même de se rendre dans les royaumes chrétiens d’Espagne et d’Al-Andalus, avec l’histoire comme toile de fond du convulsif et belliqueux XIe siècle.

Un trepidante relato de guerreros nórdicos contada en primera persona por su protagonista, donde el autor nos desvela con maestría las costumbres más desconocidas de estos clanes, y nos retrata un siglo donde la violencia, la ambición, la traición y también la amistad estaban a la ordre du jour.

Mon point de vue sur Einar Leifson, Viking Blood

L’histoire est portée par un personnage qui, motivé par le mode de vie viking, décide de se lancer dans un voyage vers l’inconnu. Plusieurs événements provoquent une évolution intense des événements marqués par le conflit de l’intrigue.

Vous pouvez y voir les trahisons, les guerres entre clans vikings, la perte de la famille du protagoniste, étant de véritables obstacles que le personnage devra surmonter, et qui apportent cette touche dramatique et intense que chaque intrigue devrait avoir.

Un roman qui maintient un rythme lent mais sans pause, ce qui rend difficile l’arrêt de la lecture.

Ce qui ressort du roman, c’est qu’il capture les héros et les méchants, hommes et femmes comme égaux sur le même plan social, se battant avec honneur et pour l’avenir de leur culture.

À ce stade, au-delà du fait qu’il y a de l’empathie avec le protagoniste et que ceux qui commettent une mauvaise action sont détestés, la vérité est qu’il y a une cohérence due au monde intérieur que possède le personnage, ce qui apporte une bonne dose de réalité au chantier de construction.

Comme point fort à souligner dès le premier roman de Salvador Contéc’est que lorsque vous vous plongez dans ses pages, il semble que vous soyez dans une sorte de livre de voyage, bien que situé en l’an 1000dC.

C’est un premier ouvrage très digne de cet auteur qui dévore les romans historiques, et qui transpire tant bien que mal toutes ces années de lecture qu’il a accumulées avant de franchir le pas d’écrire quelque chose à lui.

A propos de l’auteur, Salvador Antonio C.Onte Jiménez

(Murcie, 1967)

Diplôme en Gemmologie de l’Université d’Alicante.

Il est passionné par l’histoire et l’époque médiévale, même s’il a une prédilection particulière pour les Vikings.

Dévoreur de romans historiques, il nous surprend par sa facette d’écrivain avec son premier long métrage « Einar Leifson. Sang viking.

Connu pour avoir été pendant six ans président de la Fédération des Peñas de Alcantarilla, où il a également été membre à cette époque de l’Association des fêtes et récréations historiques.

Fiche technique

Éditorial: CARTE GRAPHIQUE

pages: 208

An: 2022

Le genre: Roman historique

Lien d’achat : conte.joyeros@gmail.com